Cellule K


Premières lignes…

Lorsque l’occasion m’a été donnée de résider quelques semaines durant à la chartreuse de Villeneuve-Lès-Avignon, j’en ai été ravi et je n’ai pas hésité une seconde.
J’ignorais alors qu’on ne séjourne pas impunément dans une cellule, fût-elle réaménagée en studio pour artiste. J’ignorais qu’on ne côtoie pas sans souci l’enfermement et la solitude. J’ignorais encore que la cellule qu’on m’avait réservée, la cellule K, était celle où quelques jours plus tôt le dramaturge Patrick Kermann, auteur de La mastication des morts, avait choisi de mettre fin à ses jours…

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Lu au Marathon des Mots par Dominique Pinon


Didier Goupil             didier.goupil1@orange.fr            06.63.90.47.98