Traverser la Seine

Disponible en librairie et sur internet


Ce soir, pour sa dernière nuit sur terre, c’est dans sa baignoire que Madame allait dormir.


Extrait

« Ce n’est qu’au moment où elle quitta la galerie que Madame se rappela la phrase de Marguerite Yourcenar qui l’avait habitée tout le temps où elle s’était retrouvée face aux « pinturas negras » de ce Cosme Estève qui l’avaient comme foudroyée :

« L’important – maintenant – était de recueillir le peu qui filtrerait du monde avant qu’il fît nuit »

Traverser la Seine, août 2016
Editions du Serpent à Plumes, leserpentaplumes.com


Prix et récompenses

Lauréat du Prix Jean Morer 2016 des Vendanges littéraires de Rivesaltes. Didier Goupil succède à Charles Juliet, Javier Cercas, Mireille Calle-Gruber, Marie Rouanet, Jaume cabré et Régine Detambel.


Premières lectures, chroniques et critiques

Par Yves Gabay, dans La Dépêche du Midi :
« Un an après son très beau « Journal d’un caméléon », le romancier Toulousain Didier Goupil nous invite à « Traverser la Seine ». Madame est morte… ce sont les trois premiers mots de ce roman impressionniste, subtil et, comme toujours avec Goupil, écrit dans une langue d’une élégance rare. En compagnie de Madame , une femme qui a « ses entrées au Ritz », c’est tout un monde qui nous est conté, celui d’Hemingway, de Mai 68, de la Princesse de Clèves, d’Alexandre Calder, mais aussi, avec Auschwitz, la folie meurtrière des hommes… Un roman qui se lit très vite, sans s’arrêter, mais dont la douceur amère ne cesse de vous hanter, bien après l’avoir reposé. »

Par Christian Thorel, responsable de la librairie Ombres Blanches, ici.
Par Bernard Revel sur le blog des Vendanges littéraires, ici.

Par Katia Panier, libraire à la Librairie Sauramps de Montpellier :
« Petit bijou du soir….
C’est l’histoire de Madame… Madame vit au Ritz depuis très longtemps, mais déteste les mondanités. . . Madame aime Paris, l’Art, la littérature. Madame aime marcher. Madame a vécu les camps. 
J ai aimé Madame dès le début du livre…merci Didier Goupil d’avoir mis tant de douceur dans ce portrait de femme. Et quelle femme….
C’est pour ce genre de roman que j’aime mon métier…
« 

Par le critique belge Willy Lefèvre sur le blog Marc Page, ici.

Par Brigitte Aubonnet dans Encres Vagabondes, ici.


Didier Goupil             didier.goupil1@orange.fr             06.63.90.47.98